Notre avis :
La vie de passion et de combat d’une océanographe pionnière de l’écologie
Quelques semaines à peine après sa naissance, le père d’Anita Conti la baigne dans l’Atlantique, au large de Lorient. Celle que l’on surnommera plus tard « la Dame de la mer » ne quittera plus jamais le monde aquatique.
Océanographe, photographe, cinéaste, journaliste, essayiste, Anita Conti a cherché toute sa vie à percer les mystères de l’océan, de Terre-Neuve aux côtes mauritaniennes, de l’Adriatique à la mer de Barents. Cette passion devient très tôt un combat écologique. Dès les années 30, elle lance l’alerte sur les dangers de la pollution des mers et de la surpêche. Trente ans plus tard, elle tente d’apporter une réponse en se révélant pionnière de l’aquaculture. Anita Conti aura passé plus d’heures sur mer que sur terre, partageant ses idées et ses espoirs avec le Commandant Cousteau.
Sa vie est une plongée au cœur d’un monde inconnu et sauvage, mais surtout un cri d’alarme universel : si les mers représentent les 3/4 de la surface de notre planète, l’avenir de celle-ci dépend de leur sauvegarde.
Océanographe, photographe, cinéaste, journaliste, essayiste, Anita Conti a cherché toute sa vie à percer les mystères de l’océan, de Terre-Neuve aux côtes mauritaniennes, de l’Adriatique à la mer de Barents. Cette passion devient très tôt un combat écologique. Dès les années 30, elle lance l’alerte sur les dangers de la pollution des mers et de la surpêche. Trente ans plus tard, elle tente d’apporter une réponse en se révélant pionnière de l’aquaculture. Anita Conti aura passé plus d’heures sur mer que sur terre, partageant ses idées et ses espoirs avec le Commandant Cousteau.
Sa vie est une plongée au cœur d’un monde inconnu et sauvage, mais surtout un cri d’alarme universel : si les mers représentent les 3/4 de la surface de notre planète, l’avenir de celle-ci dépend de leur sauvegarde.
(Source : site de l'éditeur)
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on 30. Octobre 2024 - 10:45 Adminloc